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Prime de partage de la valeur 2025 : quelles nouveautés ?

POSTÉ LE 28-01-2025
Un employeur tend à son salarié sa fiche de paie, qui inclue une prime de partage de la valeur.

Anciennement appelée prime Macron ou prime exceptionnelle de pouvoir d’achat (Pepa), la prime de partage de la valeur (PPV) a évolué à plusieurs reprise depuis son entrée en application. Elle est encore en vigueur, jusqu’en 2026 au moins, avec des nouveautés visant à favoriser la souplesse de sa mise en pratique, mais aussi sa généralisation via une mise en œuvre obligatoire en 2025 pour certaines entreprises.

Réglementation

Anciennement appelée prime Macron ou prime exceptionnelle de pouvoir d’achat (Pepa), la prime de partage de la valeur (PPV) a évolué à plusieurs reprise depuis son entrée en application. Elle est encore en vigueur, jusqu’en 2026 au moins, avec des nouveautés visant à favoriser la souplesse de sa mise en pratique, mais aussi sa généralisation via une mise en oeuvre obligatoire en 2025 pour certaines entreprises.

Mise à jour Janvier 2025

Prime de partage de la valeur : pour qui, comment et pour quel montant ?


Instaurée en 2022 parmi les mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat, la prime de partage de la valeur est un dispositif qui concerne les entreprisesde droit privé, ainsi que certains établissements publics. Elle leur permet d’octroyer à leurs salarié·es une gratification, quel que soit leur statut, en en déterminant librement son montant . Le cas échéant, il est possible de décider :

  • de verser la PPV soit à tous les salarié·es, soit seulement à celles et ceux dont la rémunération est inférieure à 3 fois le SMIC en vigueur ;
  • d’octroyer un montant identique de prime à tous les collaborateurs et collaboratrices éligibles, ou d’en moduler le montant selon certains critères précis et objectifs (niveau de rémunération de chacun·e, niveau de classification, ancienneté dans l’entreprise, durée de présence effective pendant l’année écoulée, ou encore durée du travail) ;
  • d’en fractionner le versement en plusieurs paiements sur l’année civile (dans la limite de 4 maximum, soit 1 par trimestre).

Et concernant les intérimaires ?

Les intérimaires délégué·es dans une entreprise utilisatrice doivent aussi bénéficier de la prime de partage de la valeur dès lors qu’elle est octroyée à ses salarié·es permanent·es (aux mêmes conditions). La prime, versée à l’intérimaire par l’intermédiaire de son agence d’intérim, offre les mêmes possibilités d’exonération de charges.


Depuis 2024, une entreprise peut décider de verser une seconde PPV dans l’année , si elle le souhaite (le cumul des deux primes ne devant pas dépasser le plafond fixé fiscalement pour bénéficier de l’exonération, cf. section suivante). Un gage de flexibilité qui permet de s’adapter à la conjoncture et aux résultats effectifs de l’activité.

> À lire aussi : Épargne salariale : un levier RSE à saisir pour les TPE-PME


Une calculatrice, des euros et un bulletin de paie comprenant une prime de partage de la valeur.


Partage de la valeur 2025 : des dispositifs désormais obligatoires pour certaines entreprises de moins de 50 salarié·es


Jusqu’ici, la prime de partage de la valeur était un dispositif totalement facultatif, toutes catégories d’entreprises confondues. Quant à la participation obligatoire, elle ne concernait que les entreprises de 50 salarié·es ou plus. Une configuration qui change complètement depuis le 1 er janvier 2025 pour de nouveaux profils d’entreprises soumis à la mise en œuvre obligatoire des dispositifs de partage de la valeur. Sont concernées les entreprises :

  • employant de 11 à 49 salarié·es ;
  • ayant un statut de société (hors entreprises individuelles) ;
  • réalisant un bénéfice net fiscal d’au moins 1 % de leur chiffre d’affaires pendant 3 exercices consécutifs.

Dès lors qu’elles satisfont ces 3 critères, elles doivent donc impérativement mettre en place soit le versement d’une prime de partage de la valeur (PPV), soit un autre dispositif de partage de la valeur : mise en place d’un accord de participation ou d’intéressement, ou abondement de plan d’épargne salariale. Et ce dès l’exercice 2025 si leurs 3 exercices précédents ont dégagé un bénéfice net fiscal d’au moins 1 % de leur chiffre d’affaires.



Comment fonctionnent les exonérations de la prime de partage de la valeur en 2025 ?


Sont éligibles à une exonération de cotisations sociales les primes annuelles cumuléesplafonnées à 3 000 euros par an et par salarié·e (plafond qui peut êtredoublé à condition de mettre en place un contrat d’intéressement ou de participation), à certaines conditions. Sont concernées les primes :

  • versées aux salarié·es dont la rémunération des 12 mois précédents est inférieure à 3 SMIC annuels, et qui sont employé·es dans des entreprises de moins de 50 salarié·es : le cas échéant, l’exonération s’étend aux cotisations de Sécurité sociale, à la CSG-CRDS, à la taxe sur les salaires, au forfait social et à l’impôt sur le revenu ;
  • versées aux salarié·es, quel que soit leur niveau de revenu, s’ils et elles sont employé·es par une entreprise de 50 salarié·es ou plus : la prime est exonérée uniquement de charges de Sécurité sociale, et de forfait social si l’effectif de l’entreprise est inférieur à 250 salarié·es.

La prime de partage de la valeur 2025 : un levier d’engagement et de fidélisation des talents

Cette prime présente plusieurs atouts :

  • les exonérations sociales et fiscales donnent la possibilité d’ améliorer les revenus nets des salarié·es en contrepartie de charges réduites pour l’entreprise ;
  • librement fixé par chaque entreprise, le montant de PPV alloué constitue un avantage concurrentiel et un argument différenciant, même si cette prime se décide annuellement.

> À lire aussi : Tensions sur le marché de l’emploi : quels leviers d’attraction et de fidélisation actionner ?

La prime de partage de la valeur 2025 évolue donc significativement. Notez qu’elle s’accompagne d’autres dispositifs à connaître dans le cadre de la loi de partage de la valeur :

    >
  • La possibilité ouverte aux entreprises de moins de 50 salarié·es de mettre en place un dispositif volontaire de participation simplifié et moins favorable que la formule légale ;
  • La négociation obligatoire sur les bénéfices exceptionnels, dans les entreprises de 50 salarié·es ou plus ;
  • Le plan de partage de la valorisation de l’entreprise (PPVE) , nouveau dispositif facultatif ouvert aux entreprises dont la valeur progresse sur trois ans.


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